Le Fils de l’Homme

Les Lois Naturelles de la Création

Extraits du Message du Fils de l’Homme.

1. Le sacrifice expiatoire

« …Revenez à la simplicité dans votre façon de penser ! Sans cette simplicité, nul ne peut saisir entièrement ce qui est grand, et il ne peut par conséquent jamais l’atteindre. Pensez simplement comme les enfants ! Tel est le sens de la grande Parole : « Si vous ne devenez pas comme les enfants, vous ne pourrez entrer dans le Royaume de Dieu ! »

La façon de penser actuelle, si compliquée, ne permettra jamais de découvrir le chemin qui mène à ce Royaume.

…Car Dieu ne veut pas de souffrances pour Son peuple ! Il ne veut que joie, Amour et bonheur. Le chemin dans la Lumière ne saurait être autre. Le chemin vers la Lumière n’est semé de pierres que si l’être humain les y a auparavant déposées.

…En effet, tout bon chemin débouche sur la clarté ; il ne doit pas conduire sur des voies impénétrables. Là où les « voies insondables de Dieu » doivent servir d’explication, il s’agit d’un faux-fuyant témoignant d’une ignorance manifeste.

Pour l’être humain, le mystère n’a nullement sa raison d’être dans la Création. Il ne doit pas y avoir de mystère car Dieu veut que Ses Lois qui sont à l’oeuvre dans la Création soient parfaitement connues de l’être humain afin qu’il puisse s’y conformer et, grâce à elles, accomplir et achever plus facilement son périple dans l’univers sans s’égarer par ignorance.

Cela dit, considérer le meurtre brutal du Fils de Dieu comme un sacrifice expiatoire nécessaire pour l’humanité reste un point de vue on ne peut plus funeste. Comment est-il possible de penser que ce meurtre brutal du Fils serait censé réconcilier un Dieu ! Étant donné qu’on ne saurait trouver d’explication logique à cette étrange conception, on se réfugie une fois de plus derrière le rempart dont on s’est si souvent servi et qui n’est autre que le mystère divin, c’est-à-dire un événement qui échappe à la compréhension de l’être humain ! Et pourtant, Dieu est si clair en tout ce qu’Il fait ! Il est la clarté même. N’a-t-Il pas créé la nature par un acte de Sa Volonté ? Il faut donc que ce qui est naturel soit précisément ce qui est juste puisque la Volonté de Dieu est d’une Perfection absolue.

Or, tout être sensé doit ressentir le sacrifice expiatoire sur la Croix comme un acte à la fois contraire à la nature et injuste, puisque commis contre le Fils de Dieu innocent.

…L’édifice laborieusement échafaudé autour du principe fondamental erroné selon lequel la mort sur la Croix aurait été un sacrifice expiatoire nécessaire s’écroule rien que par les paroles que le Sauveur prononça Lui-même alors qu’on Le crucifiait. « Père, pardonne-leur, car ils ne savent pas ce qu’ils font ! »

Cette intercession aurait-elle été nécessaire si la mort sur la Croix devait être un sacrifice indispensable à la réconciliation ? « Ils ne savent pas ce qu’ils font ! » Voilà pourtant une accusation des plus graves, une preuve manifeste que ce qu’ils font est faux, et que cet acte ne fut rien d’autre qu’un vulgaire crime.

Le Christ aurait-Il prié à Gethsémani pour demander que le calice de la souffrance s’éloigne de Lui si Sa mort sur la croix avait été un sacrifice expiatoire nécessaire ? Jamais ! Le Christ ne l’aurait pas fait ! Mais les choses étant ce qu’elles sont, Il savait que les tortures qui L’attendaient n’étaient qu’une conséquence du libre arbitre des humains. D’ou Sa prière !

Pendant deux millénaires, on passa en aveugle devant cette évidence et on accepta sans réfléchir les choses les plus invraisemblables. »

2. Les différents peuples de la Terre

« Le progrès pour un peuple ne peut être que l’élan à partir de ce qu’il possède déjà et non l’adoption de conceptions empruntées.

L’homme ne peut jamais rien atteindre s’il ne tient pas compte des lois vivantes qui sont tissées dans cette création.

Seul le développement de sa propre culture adaptée au sol, au climat, à la race, constitue pour chaque peuple le vrai progrès !

L’homme doit, s’il veut évoluer et obtenir une aide de la Lumière, être enraciné à son terroir dans le sens le plus pur du terme ! Qu’il n’adopte pas surtout les us et coutumes de peuples étrangers ni les opinions étrangères.

Son enracinement au terroir est une condition fondamentale qui, seule, garantit santé, force et maturité !

Lorsqu’elle conserve son intégrité, chaque race peut s’ennoblir, mûrir, devenir grande et forte ; par contre, lorsque deux races se mélangent, seuls les insuffisances, les faiblesses et les défauts de ces deux races se trouvent perpétuées et aboutiront, sauf de rares exceptions, à intensifier démesurément tous leurs défauts ; il en résultera rarement quelque chose de bon ! »

En conclusion : le mélange des races, la créolisation est une faute fondamentale.

Conformément à la Loi Naturelle (ou Loi Divine) de l’évolution permanente de la Création, la souveraineté de chaque peuple de la Terre est une priorité absolue et inviolable.

C’est pourquoi, l’Europe n’a aucune légitimité lorsqu’elle accapare la souveraineté des peuples qui la composent en leur imposant des lois, des sanctions, des diktats, et de honteux quotas de migrants avec leurs conséquences si nuisibles et dévastatrices, pourtant visibles.

3. Les migrants

« Le corps physique de chaque homme est, dans tous les domaines, étroitement lié au sol sur lequel il naquit. Il doit en tenir compte en tout temps.

…Le corps terrestre est également lié étroitement à tous les astres de cette partie bien déterminée du monde et à toutes les irradiations qui en font partie.

…La Terre fournit aussi, constamment et en temps voulu, dans chacune de ses différentes zones, tout ce dont les corps physiques nés en cette zone bien définie ont besoin.

…La création donne à l’être humain tout ce dont il a besoin pour son corps physique. Elle le lui donne aussi selon l’alternance nécessaire et au moment propice !

…Cela ne procède ni de l’arbitraire ni du hasard si les hommes de la Terre sont de tailles et de couleurs différentes.

Les lois originelles de la création les placent à l’endroit bien défini qui, seul, peut favoriser leur maturité terrestre ! Elles les équipent aussi en conséquence.

…Car vous êtes aussi un fruit de la création. Vous n’êtes qu’une créature.

C’est un devoir pour vous que d’obéir à ses lois originelles. »

En conclusion : il est évident que l’aide aux personnes démunies ne peut se faire que chez eux, sur leur sol natal.

Mais le pape incite chaque jour à la transgression des Lois du Créateur, en prêchant une immigration inconditionnelle selon sa doctrine de la « miséricorde absolue » qui méprise et se moque de la Justice de Dieu !

L’Amour vrai n’a rien à voir avec la pitié mais il est sévère, ferme et juste !
Si l’être humain veut obtenir le pardon pour le mal qu’il a fait, il doit d’abord le réparer !
C’est la Loi du Très-Haut, notre Créateur ! En effet, le pardon ne repose que dans Sa Justice !

4. L’activité homme-femme

« À l’origine, au sortir du Royaume spirituel, le germe d’esprit (futur esprit humain) est asexué.

Et c’est le genre de l’activité exercée dans la Création qui donne la forme masculine ou féminine du corps terrestre et que se constituent les organes génitaux dont il a besoin pour se reproduire. Ce qui est décisif et fondamental, c’est sa résolution première… qui a lieu avant sa première incarnation sur Terre :

– Soit il s’oriente et choisit une activité positive, active et énergique, alors il prend la forme masculine.

– Soit il développe ses facultés de façon négative, passive, sereine et conservatrice, alors il prend la forme féminine.

…Seul le corps terrestre a besoin des organes génitaux pour se reproduire. Le corps spirituel en est naturellement dépourvu et il n’est pas question d’acte sexuel dans l’Au-Delà.

…Il n’en est que plus triste et désolant de voir l’humanité actuelle se courber sous le joug de cette fonction au point d’en devenir l’esclave.

…La véritable notion de féminité et de masculinité provient donc du genre de l’activité exercée dans la Création tout entière, tant spirituelle que matérielle, terrestre : des travaux plus rudes pour l’homme, une activité plus passive donc plus délicate pour la femme… deux genres d’égale force symbolisant la Croix Vivante de la Création.

…Chaque esprit porte en lui soit uniquement le genre actif soit uniquement le genre passif.

…Seule la féminité est dotée d’une faculté intuitive plus délicate, plus proche de la nature. C’est pourquoi son activité doit aussi aller de pair afin de lui permettre d’exercer cette faculté et ainsi de remplir sa mission selon la Loi du Créateur.

…Mais la femme terrestre qui s’assujettit à l’intellect, c’est-à-dire qui se consacre aux travaux de l’intellect, refoule ainsi précisément sa véritable féminité… cette sensibilité intuitive que le froid intellect emmure.

…L’homme, dans la Création, fait front à la vie extérieure pour combattre, alors que la femme, lui assurant ses arrières, maintient la liaison avec la Lumière, elle constitue ainsi le noyau, l’apport de force et le réconfort. La femme ne doit pas se placer à coté de l’homme pour faire front. Là n’est pas sa place.

…La maison et le foyer sont le point de départ de sa plus grande force. C’est là, et là seulement, que réside sa puissance, son pouvoir illimité, et non dans la vie publique.

…La femme de notre époque s’adonne à la coquetterie et à la vanité, elle met en avant ses charmes physiques, elle est devenue l’esclave éhontée de la mode, indécente et impudique, elle ne pense plus qu’à séduire et à rivaliser avec l’homme aussi bien dans sa profession que dans sa façon d’être tout entière.

…La femme a choisi, dans la plupart des cas, un chemin erroné. Son aspiration la porte vers la « déféminisation » ; que ce soit dans le sport, dans certains excès ou dans les distractions, voire surtout dans l’intérêt qui la pousse vers des champs d’action positive qui sont du domaine masculin et doivent le demeurer si l’on souhaite que s’instaure la véritable ascension et la paix.

Ainsi, sur Terre, tout s’est-il déjà fondamentalement désaxé, tout a perdu son équilibre. Les conflits en accroissement constant tout comme les échecs enregistrés ne découlent que du mélange obstiné qui s’effectue parmi tous les humains de la Terre entre l’activité positive et l’activité négative, toutes deux destinées à demeurer pures selon les lois de la création. »

5. Les religions

La religion des musulmans n’est pas meilleure que la religion des catholiques… ni que celle des juifs… ni que toutes les autres religions de la Terre.

En effet, partout, il n’y a plus qu’idolâtrie et autoglorification de toutes les religions issues de la pensée humaine, du mysticisme et d’un intellectualisme étroit et borné à ce qui est terrestre… avec, en conséquence, le reniement systématique de la Vérité et de la Volonté de Dieu… et la transgression continuelle des Dix Commandements de Dieu transmis par le prophète Moïse.

Car toutes ces religions, dans leurs cultes, ont récusé les deux Envoyés de Dieu : le Fils de Dieu Jésus-Christ, l’Amour de Dieu incarné et le Fils de l’Homme, l’Esprit Saint, la Volonté de Dieu incarnée.

Tous les deux sont « Fils » de Dieu, ce qui signifie : une partie de Dieu !

Ils font partie de la Trinité ou Tri-Unité de Dieu ! Eux seuls !

Sur cette Terre, Ils n’étaient pas des esprits humains mais une partie de Dieu. Ils étaient, tous les deux, « Dieu avec nous » parmi les hommes.

C’est le fondement inébranlable de la Vérité… qui fait défaut à toutes les religions des hommes. (Voir épilogue ci-dessous)

Au Paradis des bienheureux, il n’y a pas de religion, pas de Bible ni de Coran… ni de préceptes, d’obligations, de discrimination, de jeûnes, de prières récitées, de pèlerinages… : ce sont des mesures de l’intellect qui ne peuvent pas atteindre l’esprit !

Il n’y a que des esprits libres de toutes contraintes, de toutes influences !

Ils ont pu regagner leur patrie d’origine en surmontant tous les obstacles placés sur leur chemin par les religions c’est à dire par la volonté de leur prochain.

C’est pourquoi, dans le Jugement Dernier actuel, toutes les religions avec leurs adeptes sont voués à la décomposition dans la damnation éternelle.