Le Fils de l’Homme

Vérité     –     Mensonge

Où est l’homme qui éprouve une grande et pure nostalgie de la Vérité ?
Il existe tant de religions, de sectes, de communautés, qui prétendent enseigner la Pure Vérité !
Elles se contredisent, se font la guerre ! Comment cette confusion a-t-elle pu s’installer, se répandre et demeurer encore aujourd’hui ?

Il n’est pas difficile de reconnaître, rien qu’à cette réalité, que les humains ne se soucient aucunement de la Vérité Éternelle. Ce qui les intéressent et les motivent c’est uniquement leurs propres conceptions de la vérité. Ainsi, les différentes religions représentent les diverses conceptions des humains, lesquelles varient évidemment en fonction de leur éducation, de leurs désirs personnels, de leur maturité…

Mais, où se trouve la Vérité sur cette Terre ?
« Je suis le chemin, la Vérité et la Vie » a enseigné le Fils de Dieu Jésus. Or, c’est le mépris, le rejet des Paroles du Christ qui a conduit l’humanité dans cet inextricable chaos…

Et, partout, règne le mensonge. L’être humain s’en accommode et se rassure en affirmant que « personne ne détient la vérité ». Il va jusqu’à qualifier le mensonge de « contrevérité » comme une chose normale, inévitable ! « Si l’amour de la Vérité » était vécu parmi les humains, nous ne serions pas submergés par tant de maux, de discordes, de discussions, de négociations, de débats interminables… de confrontations, de soupçons, d’accusations réciproques… et de tant de religions contradictoires ! L’immense confusion actuelle n’aurait jamais pu se développer.

Car la Vérité est toujours simple, claire et naturelle. C’est sa grandeur !

Le mensonge s’oppose toujours à la Vérité. C’est son contraire et sa seule raison d’être. Il peut être affirmé et propagé par ignorance, omission, déformation, exagération, présomption, vanité… pour tromper… séduire… obtenir une faveur… etc…

Et ce n’est pas parce que toutes les religions répandent le mensonge que Dieu le Créateur n’existe pas ! Et que la Vérité ne peut pas être découverte et vécue !

« Celui qui cherche – sincèrement et avec humilité – trouve » !
Et cette recherche demeure uniquement un problème de paresse ou de détermination, puisqu’une telle situation aussi désastreuse nécessite seulement un effort plus grand ainsi qu’une persévérance plus longue… afin de reconnaître les mensonges des religions et de lever les yeux au Ciel ! …Car l’amour de la Vérité surmonte tous les obstacles !

Les fausses croyances sont des aberrations… qui s’opposent aux vraies croyances, c’est-à-dire à la Vérité. Elles sont donc des mensonges qui retiendront les esprits humains comme dans un filet et les empêcheront de s’élever et d’entrer au Paradis des Bienheureux. Puisque chacun est entièrement responsable de ses croyances, étant donné qu’il est libre de les accepter ou de les rejeter. C’est cela « le libre arbitre » que le Créateur lui a fait « don » afin qu’il l’exerce ! Et, n’oublions pas que Dieu est la Vérité ! …et que l’arme de Lucifer est le mensonge !

Maintenant, il m’apparaît utile de décrire les croyances essentielles et indispensables à l’esprit humain qui aspire à s’élever ! Ces croyances constituent une partie du « vrai savoir » que l’on ne peut acquérir que par l’expérience vécue, pour en avoir une conviction inébranlable.

Elles ont toutes été révélées par le Fils de l’Homme dans son Message de la Vérité.
Je mentionne également ce qui est faux, donc mensonger, et qui n’aurait jamais dû exister si… !

Première croyance : Dieu le Créateur.

Dieu-le-Très-Haut, l’Éternel, est le Créateur de tout ce qui existe.
Cette Terre – que Ses créatures ont saccagée – Lui appartient !
Nous ne devrions nous considérer ici-bas que comme des hôtes…
Et agir en conséquence ! Ce qui n’est pas le cas !

La Création est Son Œuvre… de laquelle Il est naturellement séparé.
Seule Sa Force ou Son Irradiation la parcourt et la maintient en vie.
Dieu Lui-même trône bien loin, au-dessus de Sa Création, à des distances inconcevables, à jamais inaccessible à l’esprit humain, lequel est constitué d’un genre différent. … issu indirectement de Lui.

C’est donc une énorme erreur fondamentale et un mensonge que de croire posséder une parcelle de divin en soi, ou de pouvoir se fondre en Dieu, ou de L’approcher, de Le voir… ou de Le reconnaître dans son prochain…etc… Il est également impossible que le Saint-Esprit puisse approcher ou demeurer près de l’esprit humain ou en lui.

Toutes ces prétentions – et bien d’autres – ne font que rabaisser le Très-Haut au niveau des esprits humains, ce qui constitue un blasphème.

…et une infraction au premier des dix Commandements, le plus grand de tous ! :

« Je suis le Seigneur, ton Dieu ! Tu n’auras pas d’autres dieux, en dehors de moi ! »

Deuxième croyance : La Sainteté de Dieu.

Tous les croyants devraient pourtant savoir que : « La Sainteté est un attribut de Dieu le Très-Haut. »
Et qu’en aucun cas, un être humain ne peut prétendre être qualifié de « Saint ».
Aucun objet matériel… même à l’usage d’un culte, non plus !

Hélas ! Ce mensonge est très répandu parmi toutes les confessions religieuses qui devront en rendre compte au jour du Jugement Dernier.
Combien elle est détestable cette mentalité qui consiste à toujours vouloir se hisser au niveau du Très-Haut… en Le rabaissant !
« L’Homme qui veut se faire Dieu » est risible et grotesque. Tout comme « La grenouille qui veut se faire aussi grosse que le bœuf ».

Également, les croyants ne réfléchissent pas lorsqu’ils récitent machinalement la prière du « Notre-Père » enseignée par Jésus à Ses disciples.
Car, en prononçant ces mots : « Que Ton Nom soit sanctifié ! », ils se révèlent incapables de voir et de ressentir que le dogme de la sainteté du Pape… ainsi que tous les « saints », canonisés, proclamés et décrétés par l’église sont des horreurs, des mensonges éhontés, des atteintes hostiles à la Volonté et à la Justice du Très-Haut… ainsi qu’une profanation de Sa Sainteté !
C’est usurper un attribut et une prérogative qui n’appartiennent qu’à Dieu le Très-Haut.

Pourtant, il est écrit dans leur Bible : « Dieu seul est Saint ». Mais cela n’a pas suffi !

Ainsi, les contradictions sont très nombreuses… et la foi des croyants est aveugle… pour leur propre perte ! Depuis des millénaires : « Ils disent mais ne font pas ! ». Les subtilités de langage, c’est-à-dire l’hypocrisie est toujours bien ancrée chez les religieux de tous bords !

Il suffit d’examiner les conséquences du serment imposant le célibat aux membres du clergé. De combien de malheurs, de scrupules et de souffrances n’a-t-il pas été la cause !
C’est une contrainte unilatérale et anti-naturelle que l’homme s’impose et qui le fait apparaître aux yeux de ses semblables avec « une auréole de sainteté, » le plaçant ainsi à un niveau supérieur au commun des mortels. C’est un mensonge, une hypocrisie, une contrainte inutile, mesquine… et une opposition, une attaque, une infraction à la Loi naturelle Parfaite du Créateur.

Troisième croyance : La Parole de Dieu.

De même, qualifier la Bible de « Sainte » est un mensonge évident. Elle n’est pas non plus « la Parole de Dieu » comme les Églises et les Temples osent l’enseigner, dans le seul but de maintenir leurs fidèles sous leur dépendance… en brandissant la Bible comme un bouclier, derrière lequel tous se cachent, au lieu de réfléchir.
Certes, elle contient, aussi, les Paroles de Jésus le Fils de Dieu, lesquelles sont effectivement « la Parole de Dieu », mais cela ne peut concerner les paroles attribuées au Christ et qui ont été déformées lors de leur transmission orale… et de leur transcription dans la Bible !

Elles ne correspondent pas à la réalité et ne peuvent pas être considérées comme étant « la Parole de Dieu. » Car beaucoup d’erreurs, de lacunes et… de mensonges ont été rapportés dans les Évangiles… et dans tous les écrits de la Bible… comme d’ailleurs dans les écrits de toutes les autres religions.

En effet, c’est une constante chez les humains ! Ils ne peuvent s’empêcher « d’adapter » la Vérité à leurs conceptions et à leurs désirs personnels !

Et c’est ainsi que, partout, « le mépris de la Vérité » a supplanté « l’amour de la Vérité ».
Évidemment, ces paroles déformées, mélangées à des mensonges, consciemment ou par ignorance, sont aisément reconnaissables puisqu’elles vont à l’encontre des Lois naturelles et parfaites du Créateur : le seul critère valable !

Quatrième croyance : Le Fils de Dieu et le Fils de l’Homme.

« La Trinité ou Tri-Unité du Dieu unique est formée de Dieu le Père dans sa Toute-Puissance et Sa Sagesse avec, à Sa droite, cette partie de Lui qu’est le Fils de Dieu, l’Amour, et à Sa gauche, cette autre partie de Lui, l’Esprit Saint, la Justice. »

C’est pourquoi Jésus de Nazareth, est appelé Fils de Dieu car Il est « une partie » de Dieu le Père, descendue dans un corps humain. Il fut l’Amour divin incarné, la Parole faite chair.
Ses paroles : « Moi et le Père sommes UN » et « Celui qui m’a vu, a vu le Père » sont claires, justifiées et compréhensibles.
Après son assassinat par l’horrible crucifixion, Il est retourné auprès du Père comme Il l’avait précisé à Ses disciples.

Toutefois, avant son départ, Il a annoncé la Venue du Fils de l’Homme, de l’Esprit de Vérité…
Il désignait ainsi l’Esprit Saint, la Justice, cette autre partie de Dieu formant la Trinité du Dieu unique.
Jésus ne parlait donc pas de Lui-même… comme le prétendent encore aujourd’hui les chefs religieux, dans leur incompréhension et leur indigence spirituelle… perpétuant et répandant ainsi un énorme mensonge… pourtant facilement reconnaissable dans Ses Paroles si claires :

« Mais, quand le Fils de l’Homme viendra, trouvera-t-il la foi sur la Terre… »
« Mais, quand viendra Celui qui est l’Esprit de Vérité, Il vous conduira dans toute la Vérité.
Et quand Il viendra, Il châtiera le monde à cause du péché et pour la Justice. Et Il apportera le Jugement.
Mais moi je vais au Père et désormais vous ne me verrez plus… »

Jésus, le Fils de Dieu a annoncé la venue du Fils de l’Homme en employant « la troisième personne » et, de plus, Il a terminé cette annonce en précisant :
« Mais moi, je vais au Père et désormais vous ne me verrez plus ! »
Pouvait-Il s’exprimer plus clairement ?

Jésus a annoncé « Celui qui apporterait le Jugement », « Celui qui est la Justice » après avoir précisé que Lui-même n’était pas venu pour le Jugement.

Les « Révélations de l’Apocalypse » concernent le Jugement, donc celui qui est la Justice c’est-à-dire le Fils de l’Homme. Elles ne peuvent pas provenir de Jésus-Christ, le Fils de Dieu, qui Lui est l’Amour ! Pour une juste compréhension, il suffit de distinguer les attributs et les missions respectives du Fils de Dieu et du Fils de l’Homme, lesquels forment en Dieu le Père : la Trinité du Dieu Unique.

« Ils sont comme les bras du corps humain qui agissent de façon indépendante sans cesser pour autant d’appartenir au corps considéré dans son ensemble. Ils ne peuvent toutefois agir de façon indépendante qu’en corrélation avec l’ensemble. »

« Tous deux sont “Fils de Dieu”. Ils procèdent du Père et font partie intégrante de Lui. » Selon les conceptions humaines, Ils sont frères !
C’est donc, encore, une grave lacune et un mensonge que cette fausse croyance des Églises et des Temples désignant Jésus comme étant le Fils « unique » de Dieu.

À méditer l’enseignement de Jésus : Un jour de Sabbat …extrait du chapitre 5.

Cinquième croyance : Les serviteurs de Dieu.

Bien que cheminant sur terre dans un corps physique, Jésus-Christ n’était pas un esprit humain comme l’étaient Bouddha, Mahomet, Zoroastre, LaoTseu, Krishna… et comme l’étaient aussi avant eux, Abraham, Moïse, Isaïe, et bien d’autres…

C’est une erreur fondamentale et un autre mensonge que de placer le Fils de Dieu Jésus au même niveau – et même à un niveau inférieur – à ces prophètes et serviteurs de Dieu, comme osent le faire les religions prétendant être établies sur leurs enseignements, ce qui est une illusion coupable et un nouveau mensonge, car tout a été déformé, dénaturé, dès le départ de celui dont la religion s’est fait une idole ! Rien n’a été conservé pur !

La preuve en a été apportée par le Fils de l’Homme, l’Esprit de Vérité. Car la réalité de la vie, de ces grands prophètes, précurseurs de la Vérité, ainsi que leurs enseignements, ont été rétablis et portés à la connaissance de l’humanité, sous forme de livres, depuis de nombreuses décennies… mais en vain !

C’est bien la preuve que la nostalgie et l’amour de la Vérité n’existe pas !

Sixième croyance : L’ultime secours !

L’humanité entière, dans son impiété et sa suffisance, avec ses nombreux cultes, religions, sectes… se contredisant et s’opposant mutuellement…

…cette humanité dévoyée, en faillite totale… ne sait pas… ne veut pas savoir… et continue à ignorer que : « Dieu le Très-Haut a envoyé sur Terre le Fils de l’Homme qui a été promis par le Fils de Dieu Jésus Lui-même pour le Jugement et la rédemption de l’humanité ainsi que les anciens prophètes l’ont jadis annoncé. Il portait les Signes de Sa haute mission : la Croix vivante de la Vérité, rayonnant de Lui et, au-dessus de Lui, la Colombe divine, tels que le Fils de Dieu Les a portés. »

De nombreux élus ont eu la Grâce de le voir et d’en porter témoignage !

Ainsi, le Fils de Dieu Jésus a dit : « Je suis la Vérité et la Vie » et Il a promis « la Venue du Fils de l’Homme », de « Celui qui est l’Esprit de Vérité. »

Or, « Dieu est la Vérité » et seuls ceux qui sont issus de Dieu, donc qui portent en eux « la Vérité » peuvent donner la Parole de la Vérité aux hommes.

« Le dispensateur de la Parole Vivante doit donc être Lui-même issu de la Parole. »
« Au commencement était la Parole, et la Parole était avec Dieu, et Dieu était la Parole !
…C’est là que réside pour vous tout le savoir…
…La Parole est issue de Dieu ! Elle était et est une partie de Lui. »

Septièmement : L’idolâtrie.

Le culte à Marie de Nazareth, la mère terrestre de Jésus, n’existait pas au début de l’ère chrétienne… et pour cause ! Il n’avait aucune raison d’être. Il fut inventé, plus tard, par l’Église. Jésus ne l’a pas enseigné. Au contraire, maintes-fois, Il s’est opposé à tout culte de la personne – même envers Lui-même – en ramenant toujours Ses auditeurs à Dieu Son Père.

Car ce comportement condamnable est malsain et entravant. C’est, en réalité, de l’idolâtrie, laquelle est une grave infraction au premier Commandement :

« Je suis l’Éternel, ton Dieu, tu n’auras pas d’autres dieux, en dehors de moi. »

Marie était un esprit humain. Elle a « seulement » reçu une Grâce de Dieu, toute particulière et temporaire pour l’accomplissement de sa mission. Elle a été privilégiée, ce qui veut dire « choisie » …parmi d’autres esprits humains, d’autres servantes du Seigneur.

Mais, l’Église, dans sa mégalomanie, en a fait une idole en l’élevant au niveau divin – égal ou supérieur à Jésus-Christ – pour beaucoup d’âmes humaines.

En instituant ce culte mensonger, l’Église, dans son outrecuidance, s’est hissée au-dessus du Fils de Dieu Jésus, en prétendant ainsi améliorer Sa Parole. En réalité, cette organisation humaine n’a fait que tromper et détourner les croyants de la Parole de la Vérité, en leur faisant croire que « les sentiments d’une mère » étaient supérieurs et préférables à « l’Amour divin » incarné en Jésus le Fils de Dieu.

Cette Église sera renversée du trône qu’elle s’est érigé… et qu’elle a usurpé !… entraînant des millions d’âmes dans l’abîme… au jour du Jugement Dernier qui approche !

Pourtant, il ressort de l’enseignement du Fils de Dieu Jésus ces Paroles limpides et d’une simplicité enfantine :

« La vénération n’est due qu’à Dieu le Très-Haut.
De même, les prières des croyants ne peuvent s’adresser qu’à Lui ! »

D’où « le Notre Père » !

Malgré cela, l’église s’est permise d’inventer ce culte et cette prière à Marie !

« Les répercussions ne pourront qu’être terrifiantes… mais empreintes de la Justice la plus rigoureuse ! » La longanimité, c’est-à-dire la grande patience de Dieu le Tout-Puissant arrive à son terme !

Huitième croyance : La Perfection de Dieu.

Tous les attributs les plus grands, les plus sublimes, sont Dieu le Très-Haut. Il est la « Perfection » comme Il est « l’Amour », « la Justice »…

Tous les chefs religieux devraient l’enseigner ! Tous les croyants devraient le savoir, et en faire la base de toutes leurs réflexions, de toutes leurs paroles et de toutes leurs actions.
Mais, c’est précisément la « Perfection » du Très-Haut qui est ignorée, bafouée, piétinée dans tous les dogmes et doctrines inventés par les gens religieux de toutes les confessions.

Partout, on se plaît à déshonorer le Créateur dans Sa « Perfection » ! …par ignorance… irréflexion …et mauvaise foi ! …également par fanatisme, idolâtrie, culte de la personne… ainsi que pour d’innombrables autres considérations.
C’est pourtant Sa « Perfection » que l’on retrouve dans « Sa Volonté » c’est-à-dire dans l’activité de « Ses Lois naturelles ».

C’est le seul critère infaillible permettant de reconnaître la Vérité et, par conséquent, le mensonge qui s’y oppose, en tant qu’élément contraire, perturbateur et hostile.

Tout ce qui ne fait pas ressortir l’éclatante « Perfection » du Créateur est évidemment le mensonge, lequel n’a d’autre but que de déprécier et mettre en doute cette « Perfection ».
Elle est facilement reconnaissable dans les Lois simples et naturelles de la Création de Dieu.
En effet, ces Lois sont « Parfaites »
Ce qui implique qu’elles ne peuvent pas être améliorées, ni contournées, ni abolies… ce qui élimine tous les actes arbitraires si nombreux chez les humains.

Leur activité est toujours la même, c’est-à-dire immuable depuis le commencement.

C’est pour cette raison que les Lois sont simples et sûres !
Il est impossible de se tromper ou d’être dans l’incertitude lorsque l’on connaît les Lois naturelles ou divines.
Elles s’accomplissent toujours avec la même régularité car elles sont « Parfaites » depuis leur origine puisqu’elles viennent de la « Perfection » qui est en Dieu, qui est Dieu.

Jésus le Fils de Dieu a souvent insisté sur le fait qu’Il n’est pas venu abolir les Lois mais « les accomplir ».
Ce qui implique qu’Il a observé ou accompli toutes les Lois naturelles qui s’imposent à un esprit humain dès lors qu’il naît et séjourne sur cette Terre, dans un corps physique.

Ainsi, la naissance de Jésus, le Fils de Dieu s’est accomplie conformément à la Loi Parfaite en vigueur pour toute naissance d’un esprit humain sur cette Terre, c’est-à-dire une procréation préalable.
Aucune dérogation n’est possible ni nécessaire puisque cette Loi – comme toutes les autres – est « Parfaite » dès l’origine.

Il est également impossible d’établir une Loi nouvelle qui viendrait annuler ou contourner ou s’opposerait à la Loi déjà existante depuis l’origine car ce serait une preuve d’imperfection !

Or, tout est « Parfait » depuis le commencement.

C’est pourquoi, Jésus le Fils de Dieu, issu de la « Perfection » ne pouvait qu’accomplir les Lois parfaites et Il répétait inlassablement qu’Il n’est pas venu abolir les Lois… à ceux qui, précisément, attendaient et exigeaient de Lui, des miracles c’est-à-dire des actes arbitraires contraires aux Lois… comme preuve qu’Il est bien le Messie attendu !

Contrairement à l’enseignement mensonger des églises, Jésus, le Fils de Dieu fut engendré comme l’est tout être humain. Il eut un père et une mère ainsi que des frères et des sœurs.

Il n’était pas nécessaire qu’il en fût autrement. Mais les églises ont institué le « culte de la personne » si malsain et entravant. Ce culte a fait de Jésus « une idole » et a ainsi détourné les fidèles des églises de Son enseignement, de Sa Parole, laquelle devait impérativement être mise en pratique s’ils voulaient obtenir le salut de leurs âmes.

Dans les Évangiles de la Bible, on attribua à Jésus, des actes arbitraires, contraires aux Lois de la Création. On Le fit « marcher sur l’eau », « changer l’eau en vin » « multiplier les pains et les poissons »…
Ce qui relève de l’impossibilité, les Lois de Dieu ne le permettant pas.
D’ailleurs, ces actes n’ont aucun intérêt et n’apportent aucun profit spirituel ! C’est déjà une preuve évidente qu’ils ont été inventés de toutes pièces.

Par contre, les actes concernant directement les êtres humains, dans leurs âmes et leurs corps physiques, c’est-à-dire « les guérisons » et également les « rappels à la vie », – comme celui de Lazare – sont conformes aux Lois naturelles, dont le processus de développement s’est trouvé accéléré… grâce à la Connaissance Parfaite… ainsi qu’à la Force de l’Amour divin incarné en Jésus le Fils de Dieu.

Mais les récits défiant les Lois naturelles, colportés de bouche-à-oreille par des croyants fanatiques ont été rapportés dans les Évangiles parce qu’ils favorisaient « le culte de la personne » c’est-à-dire « l’idolâtrie » au détriment de l’enseignement du Fils de Dieu, « le fondement » sur lequel les croyants devaient construire.

Là encore, on a privilégié – et insisté – sur « la forme » au détriment « du fond », de « l’essentiel ». Et en plus, dans « la forme » on y a mis du mensonge, du faux… de l’arbitraire…
Et combien de sermons ont été proférés, basés et s’extasiant sur ces mensonges, au cours des siècles, devant les foules moutonnières de croyants… endormis !

À titre d’exemple, examinons le récit biblique « du figuier maudit » :

« En chemin, Jésus eut faim. Apercevant de loin un figuier qui avait des feuilles, il alla voir s’il y trouverait quelque chose ; et, s’en étant approché, il ne trouva que des feuilles, car ce n’était pas la saison des figues. Prenant alors la Parole, il lui dit : Que jamais personne ne mange de ton fruit ! Et ses disciples l’entendirent.
Le lendemain, en passant, les disciples virent le figuier séché jusqu’aux racines.
Pierre, se rappelant ce qui s’était passé, dit à Jésus : Rabbi, regarde, le figuier que tu as maudit a séché.
Jésus prit la Parole, et leur dit : Ayez foi en Dieu. Je vous le dis en Vérité, si quelqu’un dit à cette montagne : Ôte-toi de là et jette-toi dans la mer, et s’il ne doute point en son cœur, mais croit que ce qu’il dit arrive, il le verra s’accomplir. C’est pourquoi je vous dis : Tout ce que vous demanderez en priant, croyez que vous l’avez reçu, et vous le verrez s’accomplir. »

Ainsi, Jésus le Fils de Dieu qui ne pouvait qu’accomplir les Lois « Parfaites », se serait approché d’un figuier afin d’apaiser Sa faim, sachant que ce n’était pas la saison des figues… en espérant donc une dérogation, un acte arbitraire allant à l’encontre de la Loi naturelle.
Il aurait de plus « maudit » ce figuier… alors qu’Il était « l’Amour » incarné… donc incapable de maudire qui ou quoi que ce soit !

En voici la preuve éclatante ! : lorsqu’il était cloué sur la croix, dans les souffrances les plus atroces, Il a prié pour ceux qui se moquaient : « Père, pardonne-leur car ils ne savent pas ce qu’ils font ».

Enfin, il ne faut pas oublier que les imprécations ou malédictions étaient fréquentes parmi le peuple et que Jésus, le Fils de Dieu a condamné cette façon « de se venger » en proférant des paroles de malédictions lorsque l’on n’obtient pas ce que l’on veut ou que l’on rencontre une opposition quelconque.

Comment a-t-il été possible d’ajouter foi à ce récit ?

Au cours des siècles, dans les églises et les temples, on s’extasie sur ce genre de récit car les foules sont toutes disposées à croire l’incroyable. Elles ne veulent croire en Jésus qu’à la condition qu’Il fasse des choses extraordinaires, miraculeuses. Il leur faut du sensationnel, de l’impossible car pour eux c’est la preuve du divin !

Il est utile de s’attarder sur la conclusion de ce récit, …sur les paroles que l’on attribue à Jésus : « Si quelqu’un dit à cette montagne : “Ôte-toi de là et jette-toi dans la mer”, et s’il ne doute point en son cœur, mais croit que ce qu’il dit arrive, il le verra s’accomplir. »
C’est, là encore, une impossibilité, la Loi naturelle ne le permet pas. Ces paroles sont même une offense à Dieu le Créateur puisque l’homme est incité à modifier, à sa guise, ce que Dieu a créé !

Et l’on ne peut pas croire à une impossibilité… ni baser sa foi sur un acte contraire aux Lois de la création… même pris au sens figuré ou symbolique… ce que Jésus le Fils de Dieu n’a jamais fait, dans aucune de Ses paraboles.

La foi véritable ne peut s’établir que sur la Vérité, sur l’activité des Lois de la Création, et non sur ce qui est à jamais irréalisable, car en opposition aux Lois « Parfaites » de la Création.

Quant à la dernière phrase de ce récit : « Tout ce que vous demanderez en priant, croyez que vous l’avez reçu, et vous le verrez s’accomplir. » Ce sont encore des paroles de croyants fanatiques irréfléchis, car dans leurs prières, les croyants ne demandent pas que des choses justes et utiles, mais ils peuvent aussi demander des choses mauvaises, pour satisfaire leur égoïsme par exemple… et même des choses qui leur seraient préjudiciables.

Ainsi un non-exaucement peut être un bienfait, une Grâce de Dieu !

Ces paroles sont des mensonges car elles incitent à avoir une foi aveugle… C’est-à-dire une foi qui exclut toute réflexion. C’est une faute, un péché de ne pas exercer la faculté de réflexion que le Créateur a fait don à chacune de ses créatures.
Il faut reconnaître que cette affirmation « Tout ce que vous demanderez en priant… » est agréable à entendre pour les croyants des églises et des temples.
En effet, ils aiment citer, à tout propos, ce genre de paroles qui leur attribue un pouvoir et une puissance irrésistible. C’est encore et toujours « l’homme qui veut se faire dieu ! »

Pensez donc : la prière est un moyen si extraordinaire, surpuissant, permettant d’obtenir tout ce que l’on veut ! Mais, en se basant sur de telles paroles, on a inventé « le positivisme », « la méthode Coué », « l’autosuggestion », « la superstition », etc…
On a voulu faire croire que « l’homme » possèderait un pouvoir en lui-même ou par lui-même…

Ces paroles exigeantes et prétentieuses sont une atteinte hostile à la Toute-Puissance du Très-Haut.
Ne représentent-elles pas un contraste saisissant à la prière du « Notre Père » enseignée par Jésus à Ses disciples ?

Hélas ! Les religieux de tous bords ne pensent qu’à se pavaner dans leur suffisance. Ils ignorent donc que, seules, l’humilité et la modestie permettent à une prière de s’élever jusqu’aux marches du trône du Très-Haut.

Ainsi, chaque prière devrait se conclure par ces mots profondément ressentis :
« Que Ta Volonté soit faite et non la mienne ! » ce qui équivaut à dire : « Je veux respecter et observer les Lois de Ta Création en y conformant ma vie ! » car : « Seul Dieu est Parfait ! »

Neuvième croyance : La Justice de Dieu.

Elle est méconnue, méprisée ! Car, partout, depuis des millénaires, on prêche exclusivement le « Bon Dieu », « Sa Miséricorde » et « Son Pardon… inconditionnel ! »

Bien évidemment, ce rabâchage a produit ses ravages : la base est devenue déséquilibrée, fausse, mensongère… et la paresse de l’esprit humain s’est installée… jusqu’à ne plus fournir aucun effort pour s’amender.

Et si l’on évoque « la Justice de Dieu et le Jugement Dernier » c’est toujours d’une façon unilatérale. Cela concerne les autres, mais jamais soi-même. C’est pour lancer des anathèmes, prononcer des paroles de malédictions envers le prochain, …lorsqu’il ne se soumet pas !

Il est incompréhensible que cet avertissement du Fils de Dieu Jésus soit si ouvertement méprisé :
« L’homme récoltera au centuple ce qu’il a semé. »

Comme il est facile d’attribuer à l’autre les paroles qui nous mettent mal à l’aise ! …et qui, pourtant, concernent chacun sans exception.

En réalité, Dieu le Très-Haut accorde Sa miséricorde à celle de Ses créatures qui se repent et regrette sa faute, s’efforce de la surmonter et de la réparer, de l’expier.
Mais Il ne peut accorder Sa miséricorde et Son pardon à celui qui ne se repent pas de sa faute… ne veut pas la reconnaître… ne fait aucun effort pour changer… et qui, par conséquent, ne le mérite pas.
Car Dieu est aussi la Justice !

Pourtant, il suffit de réfléchir et d’imaginer qu’il ne viendrait pas à l’idée d’un tribunal humain de condamner sciemment un innocent qui s’offrirait afin d’être puni à la place d’un coupable.
Or malgré cela, l’Église s’est permise de faire croire à ses fidèles que Jésus était innocent et qu’Il a été crucifié afin de racheter les péchés des hommes.
Ainsi, cette conception fait apparaître que la Justice du Créateur serait inférieure à la Justice instituée par Ses créatures.

Pourquoi les croyants et chefs religieux ne peuvent pas voir quel monstrueux blasphème s’y dissimule ? …et qui se perpétue chaque jour depuis de nombreux siècles ?

La patience du Très-Haut est inconcevable mais non sans limite.

Un jour arrive le Jugement Dernier, c’est-à-dire le grand règlement des comptes pour chacun. Les prophètes l’ont annoncé. Leurs avertissements ont été nombreux. Mais les hommes ne les entendent pas. Ils dorment. Ils persistent à suivre la voie qui descend vers l’abîme.

Ils se rassurent en disant : « Pourquoi changer ou réfléchir à ces choses qui durent depuis des siècles… des millénaires ? », « Dieu est bon ! Dieu est miséricordieux ! Dieu pardonne ! Dieu est Amour !…… »
Certes, mais pourquoi oublient-ils toujours d’ajouter : « Dieu est la Justice ! » ?

Selon eux, un innocent aurait été puni à la place des coupables… en rançon pour tous… Il nous aurait lavé de nos péchés par son sang versé… Comment de telles monstruosités ont-elles pu germer dans les cerveaux humains et se répandre parmi les Églises et croyants à la foi aveugle ?
Depuis des siècles, cette mentalité d’êtres humains irresponsables, à la mendicité geignarde, s’est répandue sur toute la Terre.

Maintenant, la Fin arrive, et avec elle, la récolte de tout ce que l’homme a semé depuis que la Terre existe et supporte le genre humain.
Comme il est écrit : « En ce jour, il y aura des pleurs et des grincements de dents » …et bien plus…

Les hommes d’aujourd’hui n’ont pas oublié Cassandre, « qui n’était jamais crue, car elle n’annonçait que des catastrophes ! »… mais ils se gardent bien de reconnaître que toutes ses prophéties se sont accomplies, pas une seule n’est restée en suspend… car tous ses nombreux avertissements ont été repoussés, et ridiculisés… et Troie a été entièrement détruite. Ce fut un anéantissement total !

Cassandre est bien souvent citée mais toujours à contresens, dans le seul but de repousser les prophéties qui leur semblent « désagréables », « exagérées »… car n’annonçant que des catastrophes…
Et on la qualifie avec dédain de « prophétesse de malheurs ».
En réalité, Cassandre fut la plus grande prophétesse que le monde ait connu !
Si les humains de son époque avaient tenu compte de ses avertissements, ils se seraient évités tous les malheurs qu’ils ont récoltés – en toute Justice !

Aujourd’hui encore, on ne veut pas croire aux prophéties qui annoncent « un absolu », …une fin tragique… et méritée, …un anéantissement total.
On se rassure comme on peut. Le pire est repoussé. On ne veut pas y penser… comme de la mort et de ce qui vient après… En conséquence, le pire sera atteint et même largement dépassé.

Les mots ne suffisent pas pour décrire la réalité de ce qui est… et de ce qu’il adviendra dans un avenir proche. Car les humains persistent à rester sourds à tous les avertissements.

Il en a été de même en ce qui concerne le Continent de l’Atlantide, disparu, englouti dans la mer. Et dont les habitants n’étaient pourtant pas aussi mauvais que l’humanité actuelle !
Avec son dieu « argent », ses innombrables idolâtries, son culte de la personne si malsain et surtout avec son intellect hyper-développé s’appesantissant sur toutes choses, opposé à l’esprit et hostile au Créateur : le péché originel entraînant tous les maux !

En conclusion, je rappelle à ceux qui croient en « la Miséricorde » de Dieu le Très-Haut, de ne pas oublier qu’Il est aussi « la Justice » …et que Son pardon repose uniquement dans Sa Justice incorruptible et rigoureuse !

(Noël 2010.)